En 1940, Raoul DENIS, vigneron des prestigieux Hospices de Beaune, comme l’était auparavant son père et son grand-père, décide de reprendre avec son épouse Raymonde, en deuxième activité, la petite exploitation familiale qui compte alors 2 hectares de vignes.

En 1972, ils créent la société DENIS PERE & FILS avec leur premier fils, Roland et son épouse Annick, tandis que le vignoble s’agrandit et s’enrichit notamment de l’appellation Ile des Vergelesses.

En 1982, avec quelques plantations nouvelles et l’acquisition de parcelles prestigieuses dont Corton Charlemagne et Aloxe Corton, la commercialisation directe des vins de ces 10ha de vignes prend de l’essor.

En 1992, Raoul, qui prend sa retraite, passe le flambeau à Christophe, le plus jeune de ses fils.

L’exploitation compte aujourd’hui 14 hectares. Nous sommes quatre associés:
– Christophe DENIS et son épouse Valérie
– Jean-Baptiste GAUTHEY, notre neveu.
– Roland DENIS, à la retraite.

La commercialisation en bouteille, qui a commencé au début des années 70, est passée de quelques centaines de cols à 80 000 bouteilles.

Une histoire de famille

En 1940, Raoul DENIS, vigneron des prestigieux Hospices de Beaune, comme l’était auparavant son père et son grand-père, décide de reprendre avec son épouse Raymonde, en deuxième activité, la petite exploitation familiale qui compte alors 2 hectares de vignes.

En 1972, ils créent la société DENIS PERE & FILS avec leur premier fils, Roland et son épouse Annick, tandis que le vignoble s’agrandit et s’enrichit notamment de l’appellation Ile des Vergelesses.

En 1982, avec quelques plantations nouvelles et l’acquisition de parcelles prestigieuses dont Corton Charlemagne et Aloxe Corton, la commercialisation directe des vins de ces 10ha de vignes prend de l’essor.

En 1992, Raoul, qui prend sa retraite, passe le flambeau à Christophe, le plus jeune de ses fils.

L’exploitation compte aujourd’hui 14 hectares. Nous sommes quatre associés:
– Christophe DENIS et son épouse Valérie
– Jean-Baptiste GAUTHEY, notre neveu.
– Roland DENIS, à la retraite.

La commercialisation en bouteille, qui a commencé au début des années 70, est passée de quelques centaines de cols à 80 000 bouteilles.